Abstract La tolérance aux fautes des systèmes informatiques peut aujourd'hui s'appuyer sur presque trente ans de résultats théoriques et expérimentaux. Depuis le début des années quatre-vingt, un effort important a en particulier été porté sur l'intégration de mécanismes génériques pour la tolérance aux fautes au sein d'intergiciels répartis. Dans cet article nous revenons sur l'évolution de ces plates-formes, en illustrant notamment comment les notions de transparence et de flexibilité ont progressivement déterminé l'organisation interne de ces intergiciels, pour culminer dans l'utilisation d'architectures réflexives. Pour situer le contexte de notre étude, l'article s'ouvre sur une introduction à la tolérance aux fautes et à ses mécanismes essentiels, pour se poursuivre par un historique de la notion d'intergiciel dans les systèmes tolérant les fautes, et finir sur une perspective des avancées à venir. |
Cet article (in French!) est basé sur les chapitres 1 et 3 de ma thèse de doctorat que vous pouvez télécharger ici.
Copies / Update: Please contact me by email if you wish to obtain a copy of a paper that is not available on line.